Voici en ce 11 novembre, l’extrait d’un poème de Guillaume Apollinaire, blessé de guerre.
(…) « J’ai cherché longtemps sur les routes
Tant d’yeux sont clos au bord des routes
Le vent fait pleurer les saussaies
Ouvre ouvre ouvre ouvre ouvre
Regarde mais regarde donc
Le vieux se lave les pieds dans la cuvette
Una volta ho inteso dire chè vuoi
Je me mis à pleurer en me souvenant de vos enfances » (…)
À travers l’Europe, poèmes de guerre, Guillaume Apollinaire
Et de ma part des minutes de silence.
Viviane Cangeloni
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